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Pôle Emploi lancera à partir de juin l'«Emploi store» - 1 views

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    Pôle Emploi lancera à partir de juin l'«Emploi store», une plateforme numérique en libre-accès proposant des services, applications et formations en ligne aux demandeurs d'emplois puis, en 2016, aux entreprises. Associée au site www.pole-emploi.fr existant, elle proposera des services inédits en ligne permettant aux chômeurs «de se repérer dans le marché de l'emploi», a expliqué ce mardi Thomas Cazenave, directeur adjoint de Pôle emploi chargé des opérations, de la stratégie et des relations extérieures.
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Pourquoi les patrons peinent à recruter | Alternatives Economiques - 0 views

  • fin 2017, 48 % des embauches de plus d’un mois étaient signées en CDI, un taux inédit depuis mi-2008.
  • « Les entreprises qui ont du mal à recruter signent davantage de CDI pour tenter de garder les effectifs », note Denis Ferrand, directeur général de Coe-Rexecode, un think-tank proche du patronat. « Même s’il ne faut pas les surestimer, les difficultés de recrutement se font de plus en plus sentir », confirme Pascal Blain, directeur de Pôle Emploi Auvergne Rhône-Alpes. Autre signal, depuis janvier 2017, les patrons de l’industrie déclarent davantage de difficultés du côté de l’offre (leur capacité à produire) que du côté de la demande (le manque de commandes). Le taux d’utilisation des capacités de production s’élevait début 2018 à 85,8 %, un niveau qui n’avait pas été atteint depuis dix ans.
  • Ces difficultés des recruteurs s’expliquent aussi par un contexte d’amélioration du marché du travail. 250 000 emplois ont été créés en 2017 en France. Une belle performance qui fait suite à des années 2015 et 2016 elles aussi dynamiques. Du coup, les clignotants de l’emploi sont plutôt au vert. Et les candidats sont moins nombreux à devoir se partager les offres. Ainsi, outre un taux de chômage au plus bas depuis 2009 (à 8,9 % en France métropolitaine), l’indice de tension sur le marché du travail – soit le rapport entre le nombre d’offres collectées par Pôle emploi et le nombre de demandeurs d’emploi inscrits –remonte depuis plusieurs trimestres. Mi-2017, on comptait 55 offres d’emploi pour 100 inscrits à Pôle Emploi, contre 42 offres pour 100 chômeurs fin 2014.
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  • Dans ce cadre d’éclaircie sur l’emploi, les problèmes bien réels des entreprises à trouver chaussure à leur pied ne doivent pourtant pas être surestimés. En 2017, 37,5 % des projets de recrutement étaient jugés difficiles. C’est certes plus qu’en 2016 (32,4 %) mais c’est moins qu’en 2012 (42,6 %).
  • De son côté, Denis Ferrand se veut beaucoup moins rassurant : « Les difficultés de recrutement touchent tous les secteurs. Et la première raison citée par les chefs d’entreprise, c’est le niveau de qualification ». « L’inquiétude que l’on peut avoir, c’est que la croissance soit freinée par manque de main d’œuvre qualifiée », poursuit-il. Il se pourrait qu’à moyen terme, la croissance atteigne un plafond pour ces raisons-là, et qu’on ait un taux de chômage structurel autour de 9 % ».
  • a Cour des Comptes dresse ainsi un bilan mitigé du « plan 500 000 » mis en place par François Hollande en 2016-2017. Les sages lui reprochent non seulement de ne pas avoir eu d’effet significatif sur le taux d’insertion dans l’emploi (51,2 % en 2016 soit sensiblement le même taux qu’en 2015) mais aussi d’avoir dépassé le budget alloué d’un demi-milliard d’euros.
  • Un jugement que ne partage pas Audrey Pérocheau, directrice de la formation à Pôle Emploi : « Actuellement en France, la formation a un effet positif très net sur l’emploi. Avec ce plan 500 000, nous avons doublé l’effort de formation, et nous avons touché des publics éloignés de l’emploi. Malgré cela, nous avons maintenu un taux d’accès à l’emploi de 51,2 % pour les demandeurs qui ont suivi une formation, ce qui prouve qu’il y avait un besoin »
  • Selon l’OCDE en effet, 23,4 % des salariés français de 15 à 64 ans sont sous-qualifiés, un taux plutôt élevé au regard des voisins européens.
  • A l’inverse, 11,6 % des salariés français sont surqualifiés, un taux plus faible que les autres pays comparables. La France se situe loin des pays les plus durement touchés par la crise économique (Portugal, Grèce, Italie, Espagne), dans lesquels le phénomène de déclassement est particulièrement spectaculaire. 
  • Dans une étude récente, Pôle Emploi analysait les 3,2 millions d’offres déposées en 2017. Et constatait que 2,9 millions d’entre elles avaient été pourvues dans l’année. Sur les 300 000 offres non-pourvues, 97 000 ont été annulées par les employeurs (parce que le besoin a disparu ou que le budget manque), et 53 000 offres sont toujours en cours. Restent donc 150 000 abandons de recrutement faute de candidats, soit seulement 4,7 % des offres. Sur ces 150 000 abandons, l’employeur a généralement reçu des candidatures (87 % des cas), mais n’a pas donné suite, essentiellement par pénurie de formation aux compétences nécessaires (51 % des cas).
  • il y en aurait en France entre 110 000 et 180 000 postes durables (CDI ou CDD de plus de six mois), non pourvus faute de candidats. Les combler grâce à des formations ciblées serait bien sûr positif. Mais cela ne permettrait pas de baisser sensiblement le nombre de demandeurs d’emploi (5,6 millions d’inscrits à Pôle Emploi en catégorie ABC).
  • Pour Morad Ben Mezian, le « tout formation » ne peut résoudre ces problèmes d’inadéquation entre l’offre et la demande. D’où la nécessité, estime cet expert de la formation professionnelle de recourir à des outils, comme les plates-formes de ressources humaines financées par les pouvoirs publics ou les branches professionnelles, pour les aider à mieux identifier les compétences dont elles ont besoin. « Lorsque les entreprises comprennent que la formation peut améliorer leur compétitivité, elles n’hésitent plus. » 
  • t toujours multi-factoriel », insiste Stéphane Ducatez.  Les employeurs reconnaissent également que les difficultés viennent parfois de leur propre fait, entre recrutement trop urgent, manque de moyens financiers, ou difficultés liées au processus interne de recrutement.
  • Avec une croissance supérieure et une meilleure formation, les non-diplômés trouveraient-ils vraiment un emploi, eux qui sont le plus touchés par le chômage ? Denis Ferrand en doute : « Le taux d’emploi* des non-diplômés ne cesse de reculer en France, contrairement à nos voisins européens. On peut se demander si les Bac+5 ne prennent pas les places des Bac +3, et ainsi de suite, poussant les sans diplômes vers le chômage ou l’inactivité »
  • Si les pays étrangers font un peu mieux que nous sur le plan du chômage, poursuit l’économiste, cela s’explique avant tout pour d’autres raisons : « La France a une démographie qui reste dynamique, avec 150 000 actifs en plus chaque année, et des gains de productivité qui restent assez élevés. Ces deux éléments empêchent une baisse rapide du chômage », assure Eric Heyer. Il faut en effet sans cesse créer davantage d’emplois pour absorber les nouveaux-venus sur le marché de l’emploi et plus une entreprise se montre efficace – plus elle optimise son organisation du travail et son appareil de production via la robotisation par exemple – moins elle a besoin de recruter. « L’Allemagne n’a pas cette démographie dynamique, l’Espagne n’a pas les gains de productivité. L’Italie n’a ni l’un ni l’autre. C’est donc plus simple pour eux de faire baisser le chômage, formation ou pas ».  
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    "5,6 millions de chômeurs d'un côté, des entreprises qui déclarent avoir du mal à recruter de l'autre… A première vue, le problème du marché du travail français semble frappé au coin du bon sens : les demandeurs d'emploi ne sont pas assez formés. Mais est-ce si simple ?"
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Hackateam Pole Emploi - 1 views

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    "Une démarche d'open-innovation pour plus de mobilité dans l'emploi ! Pôle emploi s'engage dans l'open-innovation en vous adressant un challenge unique : Vous saisir de ses données pour développer des applications innovantes permettant de faciliter le retour à l'emploi et la mobilité.  Les équipes gagnantes pourront incuber leurs applications au Lab Pôle emploi pour faciliter leur mise en ligne !"
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Quand la radiation devient une fonctionnalité du logiciel - CQFD, mensuel de ... - 0 views

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    "Avec l'abandon du suivi mensuel personnalisé physique, tout va se passer à distance à travers les spams sur téléphone portable, à travers les plates-formes de traitement de contrôle des chômeurs qui se sont implantées de façon expérimentale sur plusieurs régions. L'avenir, c'est de ne plus recevoir les gens dans les agences, à part la première fois pour leur expliquer leur droit à indemnisation. Après on les bascule sur le flicage numérique." Sur Chômeurs rebelles - http://cgtchomeursrebelles56.blogspot.fr - des conseillers de Pôle emploi décryptent le nouveau site internet de Pole-emploi.f. "Outre le casse-tête concernant les critères à renseigner, le bridage de la machine dont les réponses sont limitées à 150 offres, l'analyse met en exergue cette obligation faite au chômeur de se connecter une fois par mois et de mettre régulièrement ses données à jour afin de rester en « "tête de liste" de la consultation des patrons, comme sur "leboncoin.fr" ». Tandis que de l'autre côté de l'écran, les « flics de l'emploi », installés dans le QG de leur plate-forme de contrôle numérique, veillent au grain et n'hésiteront pas à intervenir si les démarches virtuelles du chômeur réel ne font pas montre d'une volonté active de retrouver du taf. Une traçabilité qui fait basculer le contrôle du chômeur en mode « industriel »." Le seul moyen d'échapper au flicage numérique qui se met en place : déclarer au premier entretien ne vouloir recevoir aucun SMS ou email de Pôle emploi !
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Pôle emploi ouvre une passerelle vers Viadeo - Le Monde Informatique - 1 views

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    "Viadeo et Pôle emploi ont conclu un partenariat pour développer l'usage des réseaux sociaux professionnels chez les demandeurs d'emploi et fluidifier les diffusion des offres d'emploi et des CV."
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Les offres d'emplois, les nouvelles bonnes affaires du Boncoin.fr - 0 views

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    Extrait : "Logiquement, la fréquentation du Boncoin par les internautes en quête de travail s'envole. Médiamétrie, qui vient tout juste d'intégrer le site dans son panel emploi, estime qu'en juin il a accueilli 1,75 million de visiteurs uniques, devant RégionJob (1,48), l'agrégateur Indeed (1,38), Cadremploi (1,17), Keljob (1,15), l'Apec (1,1), Monster (1), etc. Seul Pole-emploi.fr fait largement mieux (6 millions)." Commentaire d'Hubert : Après avoir révolutionné les petites annonces entre particulier, le marché internet de l'immobilier et de l'automobile, LeBonCoin.fr est en passe de devenir le premier site privé de recherche d'emploi (derrière Pôle Emploi). La simplicité, un modèle ?
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Pôle emploi ou la fusion anpe assedic pour les nuls - 0 views

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    le blog des salariés de l'ex-ANPE / ASSEDIC.  Véritable canard enchaîné de  Pôle Emploi, tenu par des anonymes
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Chercher un emploi en 2013 : le web au secours des candidats - 0 views

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    "A quoi ressemble le quotidien d'un chercheur d'emploi en 2013 ? 14 000 candidats ont répondu à la grande enquête du site RegionsJob, et font apparaître une réalité devenue banale, mais à l'ampleur sous-estimée : le web est l'outil numéro 1 de la recherche d'emploi, très loin devant Pôle emploi ou les candidatures spontanées. Pourtant, son utilisation reste perfectible..."
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Emploi Store : Les services web et mobiles de l'emploi - 0 views

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    Ensemble de services pour choisir un métier, se former, préparer sa candidature, trouver un emploi
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affordance.info: Inverser la courbe du #DigitalLabor : pourquoi #Microsoft ra... - 0 views

  • Et d'autant que les données LinkedIn serviront, notamment, à améliorer les technos et applications "d'intelligence artificielle" (Deep Learning) de Microsoft. On peut donc aisément imaginer dans un futur proche des scénarios assez triviaux où le dialogue avec cette "IA" s'enrichira d'un nouvel horizon dialogique qui lui permettra de vous signaler différents événements professionnels et de vous faire toute une série de propositions de mutation, de nouveaux contacts, etc., mais également des scénarios plus "élaborés" dans lesquels ce même assistant intelligent piloté par une IA gèrera en temps-réel la totalité de votre "carrière"
  • Cerise sur la gâteau, en complément des avantages que confère de facto cette acquisition à Microsoft, elle est également le cheval de Troie idéal lui permettant d'établir un pont avec les politiques publiques (ou privées) de formation : la plupart des néo-inscrits sur LinkedIn le sont dès leurs études universitaires. Je vous laisse alors imaginer ce monde dans lequel, en plus des accords passés avec Cisco (et avec Microsoft) par le ministère de l'éducation nationale, le même Microsoft (et ses partenaires privés) auront alors la capacité de réguler les choix d'étude et de formation professionnelle de la plupart des futurs travailleurs.
  • La "valeur" de la base LinkedIn est liée à trois facteurs essentiels. D'abord sa volumétrie : il s'agit du site rassemblant le plus d'informations sur le plus grand nombre de travailleurs sur la planète (400 millions d'utilisateurs). Ensuite son positionnement : c'est le site leader sur le secteur de l'employabilité et de la mobilité professionnelle. Enfin sa dimension "relationnelle", au sens premier et informatique de ce que l'on appelle une "base de donnée relationnelle", c'est à dire la capacité d'offrir différents niveaux de navigation, de croisement et d'analyse parmi l'ensemble des données structurées présentes dans la base.
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    "A l'évidence, les algorithmes sont amenés à jouer très rapidement un rôle absolument crucial sur le marché du travail. A l'évidence il existe un certain nombre de problèmes (de formation, d'affectation, de suivi de carrière, de disponibilité) qu'un algorithme dans toute sa candeur statistique et sa robustesse mathématique est capable de traiter plus rapidement et plus efficacement que des opérateurs humains. Donc oui demain des algorithmes joueront le rôle de conseillers pôle-emploi. D'autant que ce rachat de LinkedIn par Microsoft va nécessairement et presque mécaniquement entraîner une réaction des autres GAFAM, notamment de Google."
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La fin de Pôle Emploi ? - 0 views

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    "L'opérateur public échoue là où les alternatives privées réussissent"
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Pour faire grandir les PME, des grands groupes leur prêtent un senior - 1 views

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    "Recrutement de compétences pointues, emploi des seniors, transmission des savoirs : c'est dans cette triple optique que s'est développé le Pass'Compétences, exemple original de coopération entre grandes entreprises, PME et pôles de compétitivité."
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Du digital labor à l'ubérisation du travail | InaGlobal - 0 views

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    "Ubérisation du travail, Mechanical Turk d'Amazon, digital labor : allons-nous vers un nouveau modèle de société ? Sommaire - La révolution sera ubérisée - L'État, les syndicats et le droit - La paye algorithmique - Lumpen-cognitariat et salariat algorithmique - Travailler 10 minutes par jour et 350 heures par an - Les GAFA à (la place de) Pôle emploi - Une nouvelle bulle de servitude : économie du partage ou partage de l'autonomie ? - Se poser la bonne question. Mais laquelle ? - Schizo-travail et maso-rémunération"
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La transformation numérique, un bouleversement sociétal et territorial ? « Ve... - 0 views

  • La transformation digitale devrait se traduire par une concentration géographique des emplois autour de métropoles particulièrement denses en compétences. Le numérique s’accompagne d’une double tendance à la diffusion et à l’hyperlocalisation : pour le chercheur Antoine Picon[3], c’est une des contradictions majeures du système. Les nouvelles technologies nous permettent d’être moins dépendants du local mais – avec la logique de cluster, de pôle de compétitivité, de métropolisation - le besoin de proximité territoriale n’a jamais eu autant d’importance.
  • Pour Nicolas Colin, fondateur de TheFamily – un incubateur de start-ups digitales – «le numérique capte la valeur pour la concentrer en quelques points du territoire »[4]. Les métropoles, les clusters comme la Silicon Valley mais aussi - avec la généralisation de l'optimisation fiscale - les paradis fiscaux. L’économie numérique réduit les marges de manœuvres de l’État, lourdement endetté et désarmé pour lever efficacement l’impôt, et de nombreuses collectivités territoriales. On assistera sans aucun doute à « un affaiblissement de la redistribution de la valeur sur l’ensemble du territoire » selon Nicolas Colin. La fin du modèle d’égalité territoriale pour tendre de plus en plus vers le modèle de compétitivité territoriale ?
  • La dynamique actuelle et future des aires métropolitaines - qui s’explique avant tout par leur potentiel d’externalités incomparable (infrastructures, services, réseaux, potentiel humain) - cache des disparités internes sans cesse croissantes. Ainsi, en France, la pauvreté et les inégalités de niveaux de vie se concentrent principalement dans les grands pôles urbains. C’est à l’intérieur même des villes-centres que ces disparités sont les plus fortes : ménages très aisés et très pauvres se côtoient bien que n’habitant pas les mêmes quartiers ou arrondissements. Le numérique et ses villes intelligentes pourraient accentuer ce déséquilibre, l’investissement étant souvent concentré dans les secteurs les plus attractifs et rentables…
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    sur les inégalités de développement territorial  Une autre conséquence de l'économie digitale, la concentration inédite des richesses, risque de modifier en profondeur les équilibres sociaux et économiques. Réinventer notre modèle fiscal pour garantir une certaine redistribution parait dès lors primordial. Pour Nicolas Colin, fondateur de TheFamily - un incubateur de start-ups digitales - «le numérique capte la valeur pour la concentrer en quelques points du territoire »[4]. Les métropoles, les clusters comme la Silicon Valley mais aussi - avec la généralisation de l'optimisation fiscale - les paradis fiscaux. L'économie numérique réduit les marges de manœuvres de l'État, lourdement endetté et désarmé pour lever efficacement l'impôt, et de nombreuses collectivités territoriales. On assistera sans aucun doute à « un affaiblissement de la redistribution de la valeur sur l'ensemble du territoire » selon Nicolas Colin. La fin du modèle d'égalité territoriale pour tendre de plus en plus vers le modèle de compétitivité territoriale ?
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Une nouvelle allocation pour inciter les entreprises à embaucher - 0 views

  • Comme l'explique Éric Gérard, président-fondateur de France Défis, le principe de l'ACE consiste à «donner à l'allocataire la faculté d'apporter à l'entreprise qui l'embaucherait en contrat à durée indéterminée, une partie de l'indemnité qu'il aurait continué à percevoir s'il était resté au chômage.»
  • Pour la collectivité, enfin, le coût du chômage pourrait être réduit d'au moins 30%, selon les calculs de l'association. Soit une économie de près de 5 milliards d'euros par an pour Pôle Emploi si un demandeur d'emploi sur trois bénéficiait de ce dispositif original.
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    "L'association France Défis propose que les chômeurs puissent donner à l'entreprise qui les embauche en CDI une partie de leur allocation chômage. Tout le monde y serait gagnant mais, curieusement, l'Etat, les organisations patronales et les syndicats font la sourde oreille..."
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Philippe Askenazy : « Les nouvelles technologies sont peut-être moins destruc... - 0 views

  • Avant il y avait d’un côté le  travail manuel sans grande exigence psychologique et de l’autre un travail intellectuel sans, lui, grande exigence manuelle. Aujourd’hui il y a une convergence des deux. Si l’on est ouvrier ou conducteur de bus on subit une présence permanente des technologies, on vit une pression constante sur sa sphère psychologique qui se rajoute à la pression physique. De l’autre dans les métiers purement réflexifs se rajoute une dimension physique, le travail par exemple dans le numérique est un travail pénible avec un de plus en plus de pathologies liées. Et à cette augmentation des contraintes et des exigences avec les technologies, se rajoute désormais le mélange entre la vie privée et la vie professionnelle qui n’est pas en fait totalement nouveau 
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    L'économiste Philippe Askenazy a commenté une étude pour le Centre d'Orientation de l'Emploi sur « l'impact de l'innovation sur l'emploi vu par les salariés ». Un peu Cassandre, mais aussi optimiste au vu de la manière dont les jeunes qualifiés trouvent du travail.
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Ces « entreprises partagées » où s'invente une nouvelle forme de travail - Ba... - 2 views

  • « Les CAE ne devraient pourtant pas créer des salariés très pauvres », convient Henri Cachau. Certes, en milieu rural en particulier, il n’est pas rare que les entrepreneurs aient plusieurs activités, y compris à l’extérieur de la CAE. Mais c’est surtout en jouant sur le collectif que les CAE répondent à la précarité de leurs salariés. A travers le partage d’expérience et du savoir-faire de chacun – ateliers de démarchages, de référencement internet ou de marketing sont régulièrement organisés dans toutes les CAE – mais aussi la constitution de groupes de travail autour de projets communs.
  • Comme Fatima Lamyne, beaucoup de cadres en recherche d’autonomie s’adressent chaque année à une CAE. « C’est un profil plutôt courant : des personnes de 40 à 50 ans qui veulent redonner du sens à leur travail et se lancent comme consultants », confirme Anne-Laure Desgris, co-directrice de l’antenne bretonne d’Oxalis, une CAE de 180 entrepreneurs. La plupart des nouveaux entrants dans une CAE – 70% disent les statistiques [1] – pointent à Pôle emploi, après avoir connu une rupture dans leur parcours professionnel. Pour les autres, surtout ces dernières années, il s’agit en partie de jeunes diplômés très compétents qui choisissent l’indépendance parce qu’ils ne peuvent exercer leur métier en tant que salarié.
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    "Nombreux sont ceux qui rêvent de lancer leur propre activité économique et de redonner du sens à leur travail. Beaucoup moins sont prêts à devenir entrepreneurs. En France, 5 000 salariés ont choisi la solution de la Coopérative d'activité et d'emploi (CAE), une « entreprise partagée » où se côtoient télé-secrétaires, menuisiers, designers, et même boulangers. Elle appartient à ses entrepreneurs-salariés, et mutualise services administratifs ou formations. Une alternative à l'auto-entrepreneuriat et ses possibles dérives ? Reportage au sein de ces structures peu connues, laboratoires d'un nouveau rapport au travail, que la future loi du gouvernement sur l'Économie sociale et solidaire prévoit de développer."
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